elle et lui boivent la coupe, avalée la boue, Hedoro, leur bien dernier, elle et lui étroitement incorporés, la mixture improvise en eux sa formule La masse, l’odeur nouvelles, Hedoro, la boue du tsunami, est-ce noir cette odeur qui digère, matière de fi oul, chimie, métal et toutes chairs… Puante horreur fraîche dans l’ancien paysage,
Val la mer flot d’arbres lâche demain Même s’il ne pleut pas, il faut ici des semelles épaisses ou les pieds nus, la pelouse coupée court reste gorgée de rosée jusque tard dans la matinée. Pavés sur lit de sable, toutes sortes d’herbes. Trois grands pins sont à couper ; j’articule, m’accorde en bout à bout de branches. 112 pages