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Dans sa préface, l‘écrivaine Sedef Ecer décrit ce livre comme l‘objet le plus hybride de Basso De March. Il ne serait ni roman, ni poème, ni prose et ce recueil aurait confirmé son impression de voir des images défiler. Les textes prosaïques, courts et pleins de sens font de ce recueil un livre qui ne peut que fasciner son lecteur.
Une confrérie philosophique perd son maître. Tout le monde est désemparé, mais certains perdent carrément la tête.